
Un groupe de terroristes menés par Carlos Grube dérobent dans un laboratoire une arme bactériologique. Ils détournent le 747 du vice-président des Etats-Unis. Ils réclament une rançon et la libération d'un complice. En cas de refus, ils menacent de contaminer Los Angeles. 1997

Un groupe de terroristes menés par Carlos Grube dérobent dans un laboratoire une arme bactériologique. Ils détournent le 747 du vice-président des Etats-Unis. Ils réclament une rançon et la libération d'un complice. En cas de refus, ils menacent de contaminer Los Angeles. 1997

Un groupe de terroristes menés par Carlos Grube dérobent dans un laboratoire une arme bactériologique. Ils détournent le 747 du vice-président des Etats-Unis. Ils réclament une rançon et la libération d'un complice. En cas de refus, ils menacent de contaminer Los Angeles. 1997

Les habitants d’Utopia (où il n’est pas difficile de reconnaître Vienne) rêvent de se débarrasser des juifs. L’Assemblée d’Utopie vote donc leur expulsion : la foule se réjouit, et voilà les juifs expulsés : on s’attarde longuement sur leurs lamentations, que ce soit à la synagogue ou chez eux ; on en montre certains sur les routes de l’exil, d’autres arrivant à Jérusalem et se trouvant singulièrement dépaysés. Enfin et surtout, on les voit sur des quais de gares, où ils prennent des trains sans retour… 1924

Les habitants d’Utopia (où il n’est pas difficile de reconnaître Vienne) rêvent de se débarrasser des juifs. L’Assemblée d’Utopie vote donc leur expulsion : la foule se réjouit, et voilà les juifs expulsés : on s’attarde longuement sur leurs lamentations, que ce soit à la synagogue ou chez eux ; on en montre certains sur les routes de l’exil, d’autres arrivant à Jérusalem et se trouvant singulièrement dépaysés. Enfin et surtout, on les voit sur des quais de gares, où ils prennent des trains sans retour… 1924

Les habitants d’Utopia (où il n’est pas difficile de reconnaître Vienne) rêvent de se débarrasser des juifs. L’Assemblée d’Utopie vote donc leur expulsion : la foule se réjouit, et voilà les juifs expulsés : on s’attarde longuement sur leurs lamentations, que ce soit à la synagogue ou chez eux ; on en montre certains sur les routes de l’exil, d’autres arrivant à Jérusalem et se trouvant singulièrement dépaysés. Enfin et surtout, on les voit sur des quais de gares, où ils prennent des trains sans retour… 1924