
Un dernier volet commençant à la fin des années 60 pour s'achever au début des années 70, soit à une époque contemporaine de sa sortie. Face à la police, les yakuzas vont tenter de s'unifier et de trouver une vitrine légale. Peine Perdue. 1974

Un dernier volet commençant à la fin des années 60 pour s'achever au début des années 70, soit à une époque contemporaine de sa sortie. Face à la police, les yakuzas vont tenter de s'unifier et de trouver une vitrine légale. Peine Perdue. 1974

Député du Parti Républicain Unifié (P.R.U), Julien Dandieu est susceptible de prendre part au gouvernement qui se met en place. Il sacrifie à sa carrière, sa famille, comme sa maîtresse, la jeune mannequin Creezy. Ainsi, son épouse est internée pour dépression et son fils de dix-sept ans ne parvient jamais à le joindre. Dandieu va jusqu'à trahir ses amis pour accéder au pouvoir. Mais une fois le poste atteint, il apprend que Creezy s'est donné la mort par sa faute. 1974

Une adolescente est retrouvée pendue. Ce qui s'apparente à un suicide est en réalité un meurtre. Une femme juge d'instruction et un commissaire de police sont chargés de l'enquête. Bien vite, ils remontent la piste d'un réseau de prostitution de mineures. Un tueur se lance aussitôt dans le nettoyage des témoins et l'intimidation des enquêteurs. 1974

Une adolescente est retrouvée pendue. Ce qui s'apparente à un suicide est en réalité un meurtre. Une femme juge d'instruction et un commissaire de police sont chargés de l'enquête. Bien vite, ils remontent la piste d'un réseau de prostitution de mineures. Un tueur se lance aussitôt dans le nettoyage des témoins et l'intimidation des enquêteurs. 1974

Une adolescente est retrouvée pendue. Ce qui s'apparente à un suicide est en réalité un meurtre. Une femme juge d'instruction et un commissaire de police sont chargés de l'enquête. Bien vite, ils remontent la piste d'un réseau de prostitution de mineures. Un tueur se lance aussitôt dans le nettoyage des témoins et l'intimidation des enquêteurs. 1974

En octobre 1970, suite aux revendications et actes terroristes du Front de libération du Québec (FLQ), le gouvernement canadien adopte la Loi des mesures de guerre pour rétablir la loi et l'ordre. Cette mesure mènera à l'arrestation arbitraire d'environ 500 personnes, contre lesquelles aucune accusation ne sera portée. Le film suit cinq personnages fictifs durant cet épisode de l'histoire québécoise. 1974