
À 16-18 ans, si on a de la chance, on est au lycée. Ici on est à Ivry et on discute entre les cours, même parfois pendant les cours. Assis dans les couloirs, dehors sur un banc ou sur un parapet avec vue sur la ville, les jeunes gens dialoguent à deux ou à trois. Ils découvrent leurs histoires respectives, celles dont ils héritent, racontent leur famille, leurs passions et aussi leur solitude. À cet âge-là, chacun voit le moment où il faudra quitter sa famille, quand elle existe… ou la fuir encore plus quand elle est toute cassée. Être seul, c’est bien et c’est mal. On cherche, on en discute. 2018

Pour Jocelyne et Serge Klur, rien ne va plus : leur usine fabriquait des costumes Kenzo (Groupe LVMH), à Poix-du-Nord, près de Valenciennes, mais elle a été délocalisée en Pologne. Voilà le couple au chômage, criblé de dettes, et risquant désormais de perdre sa maison. C'est alors que François Ruffin, fondateur du journal Fakir, frappe à leur porte. Il est confiant : il va les sauver. Entouré d'un inspecteur des impôts belge, d'une bonne soeur rouge, de la déléguée CGT, et d'ex-vendeurs à la Samaritaine, il ira porter le cas Klur à l'assemblée générale de LVMH, bien décidé à toucher le coeur de son PDG, Bernard Arnault. Mais ces David frondeurs pourront-ils l'emporter contre un Goliath milliardaire ? Du suspense, de l'émotion, et de la franche rigolade. Nos pieds nickelés picards réussiront-ils à duper le premier groupe de luxe au monde, et l'homme le plus riche de France ? 2016

La Fraction Armée Rouge (RAF), organisation terroriste d’extrême gauche, également surnommée « la bande à Baader » ou « groupe Baader-Meinhof », opère en Allemagne dans les années 70. Ses membres, qui croient en la force de l’image, expriment pourtant d’abord leur militantisme dans des actions artistiques, médiatiques et cinématographiques. Mais devant l’échec de leur portée, ils se radicalisent dans une lutte armée, jusqu’à commettre des attentats meurtriers qui contribueront au climat de violence sociale et politique durant « les années de plomb ». 2015

En 2006, Fatih Akin tourne la scène finale de son film "De l’autre côté" à Çamburnu, village natal de ses grands-parents au nord-est de la Turquie, où les habitants vivent depuis des générations de la pêche et de la culture du thé, au plus près de la nature. Il entend alors parler d’une catastrophe écologique qui menace le village : un projet de décharge construit dans un mépris total de l’environnement et contre lequel s’élèvent le maire et les habitants. Il décide de lutter par ses propres moyens. Pendant plus de cinq ans, il filme le combat du petit village contre les puissantes institutions et témoigne des catastrophes inéluctables qui frappent le paradis perdu : l’air est infecté, la nappe phréatique contaminée, des nuées d’oiseaux et des chiens errants assiègent le village. Pourtant, chaque jour, des tonnes d’ordures sont encore apportées à la décharge…. 2012

En 2006, Fatih Akin tourne la scène finale de son film "De l’autre côté" à Çamburnu, village natal de ses grands-parents au nord-est de la Turquie, où les habitants vivent depuis des générations de la pêche et de la culture du thé, au plus près de la nature. Il entend alors parler d’une catastrophe écologique qui menace le village : un projet de décharge construit dans un mépris total de l’environnement et contre lequel s’élèvent le maire et les habitants. Il décide de lutter par ses propres moyens. Pendant plus de cinq ans, il filme le combat du petit village contre les puissantes institutions et témoigne des catastrophes inéluctables qui frappent le paradis perdu : l’air est infecté, la nappe phréatique contaminée, des nuées d’oiseaux et des chiens errants assiègent le village. Pourtant, chaque jour, des tonnes d’ordures sont encore apportées à la décharge…. 2012

En 2006, Fatih Akin tourne la scène finale de son film "De l’autre côté" à Çamburnu, village natal de ses grands-parents au nord-est de la Turquie, où les habitants vivent depuis des générations de la pêche et de la culture du thé, au plus près de la nature. Il entend alors parler d’une catastrophe écologique qui menace le village : un projet de décharge construit dans un mépris total de l’environnement et contre lequel s’élèvent le maire et les habitants. Il décide de lutter par ses propres moyens. Pendant plus de cinq ans, il filme le combat du petit village contre les puissantes institutions et témoigne des catastrophes inéluctables qui frappent le paradis perdu : l’air est infecté, la nappe phréatique contaminée, des nuées d’oiseaux et des chiens errants assiègent le village. Pourtant, chaque jour, des tonnes d’ordures sont encore apportées à la décharge…. 2012

Sélection de 6 courts métrages de la Compétition Officielle du Festival de Cannes 2019, avec la Palme d’Or : La programmation : - All Inclusive de Teemu Nikki (Finlande-Fiction) - L’Heure de l’ours de Agnès Patron (France – Animation) - The Van de Erenik Beqiri (Albanie/France – Fiction) - The Distance Between Us And The Sky de Vasilis Kekatos (Grèce/France – Fiction) - Le Grand saut de Nicolas Davenal et Vanessa Dumont (France – Documentaire) - Anna de Dekel Berenson (Israël/Ukraine – Fiction) 2020

Partie II : Hanouka : Mais pourquoi le monde ne s’était-il intéressé qu’aux réfugiés arabes ? En Algérie, où j’avais vécu jusqu’en 1993, seul le malheur arabe palestinien avait un nom : " la Naqba ". Le monde arabo-musulman ne s’était-il pas purgé de tous ses Juifs… ? Et si, il n’y avait pas eu… une… mais deux " Naqbas " ? Chaque jour s’approfondit le fossé entre celui que j’avais été et celui que je devenais… Et peu à peu se reconstitue ma famille, jusque-là fantôme… Près de sa tombe, aurai-je le pardon de l’Oncle ? 2020

Bastian a dix huit ans quand il apprend que ses os sont malades. Il trouve dans la compagnie joyeuse et insouciante de Lise et leurs amis la force de sublimer la dernière année de sa vie. Cette immersion pudique raconte l’enthousiasme à vivre, à éprouver les troubles, à perler ses désirs, de ce garçon qui semble sans âge. Bastian et ses amis ont choisi une voie lumineuse. 2020

En 1944 Madeleine Riffaud jeune résistante exécute un allemand, emprisonnée, torturée par la Gestapo à 20 ans, elle échappe au peloton d’exécution ainsi qu’au train qui aurait du l’emmener au camp d’extermination. Elle a pu ainsi participer activement à la libération de Paris. Cela la mène après 44, en tant que journaliste, à écrire sur les guerres d’Algérie et du Vietnam, côtoyant Hô Chi–Minh ainsi que d’autres personnalités du tiers-monde et d’écrire des livres avec des tirages de plusieurs milliers d’exemplaires. 2020

Arbres et forêts sont aujourd’hui menacés, alors qu’ils pourraient devenir nos meilleurs alliés. Un nouveau regard sur la nature, selon une démarche scientifique, permet de lever le voile des apparences et de révéler des particularités insoupçonnées des arbres. 2020

Dans la Pologne communiste des années 80, un groupe d'alpinistes défie l'hiver himalayen et enchaîne les exploits en réussissant les premières ascensions hivernales de la plupart des sommets de plus de 8000 mètres d'altitude dans des conditions météorologiques inimaginables. Ils ne disposent alors que de moyens de fortune et d'équipements rudimentaires. Dans son nouveau film, Jerzy Porębski, le génial réalisateur du film Kukuczka, nous fait entrer dans l'intimité de ces hommes exceptionnels à la recherche du secret de leur incroyable réussite. 2020

Mon oncle maternel avait quitté l’Algérie en 1961… J’avais 13 ans. Et depuis je n’avais plus eu de relation, ni avec lui, ni avec sa famille… Je n’étais pas non plus allé à son enterrement, il y a 10 ans… Je l’aimais pourtant. Ce n’est donc pas lui que j’avais boycotté, mais le pays qu’il avait choisi… Israël. Qu’est-ce qui durant plus de 50 ans avait empêché le Juif algérien communiste que j’étais ? Ma fille Naouel a voulu m’accompagner dans cette aventure et j’ai accepté. Une dette à rembourser. Partie I : Kippour : Une famille oubliée, les Juifs d’Algérie, eux aussi perdus de vue, n’avoir rien transmis à mes enfants, m’être complu dans l’ignorance… Arriverai-je à me débarrasser de toutes mes fautes ? Car d’Israël, je dus vite l’admettre, je ne savais rien. Ni de son passé, ni de son présent. Un mot mystérieux et oublié que ma mère utilisait souvent, m’en ouvre soudain les portes, "Tcharbeb "… 2020